Qui sommes-nous

L’humain au cœur de l’architecture, soutenu par la science

Nous passons 90 % de notre temps dans des bâtiments. Pourtant, la plupart de ces espaces sont conçus sans une compréhension approfondie de leurs usagers.

Comment construire pour les humains quand on ne connaît pas le fonctionnement humain ? Comment créer des lieux adaptés si l’on ignore comment notre cerveau perçoit, ressent et interagit avec l’environnement ?

C’est là que nous intervenons.

Qui sommes-nous ?

Notre agence, basée à Toulon dans le sud de la France, est dirigée par Dr. Marina Russo Schtcherbakoff Kodakoff, l’une des rares professionnelles au monde à détenir un Doctorat en Architecture et en Neurosciences, et à avoir plus de 16 ans d’expérience en recherche et en pratique de la « neuro-architecture ». D’abord diplômée en Architecture, puis formée en Neurosciences et en Psychologie clinique, avant de formaliser ses connaissances pluridisciplinaires avec un Doctorat, elle apporte une double expertise rare à chaque projet, garantissant que les espaces ne soient pas seulement esthétiques, mais efficaces sur le plan cognitif et comportemental.

Plusieurs de nos travaux de recherche ont été publiés et présentés dans des conférences internationales.

Contrairement à d’autres professionnels de l’architecture ou de la décoration, nous ne nous fions pas aux tendances ou aux préférences subjectives. Nous appliquons plutôt des méthodes neuroscientifiques rigoureuses pour :

• Décrypter comment les gens expérimentent réellement les espaces (au-delà de ce qu’ils peuvent exprimer).
• Anticiper les impacts invisibles des choix de conception sur la santé, la cognition et les dynamiques sociales.
• Transformer des données complexes en solutions concrètes et centrées sur l’humain.

Notre travail repose sur trois principes fondamentaux :

1. La science plutôt que les suppositions – Chaque recommandation est étayée par des recherches en neurosciences, psychologie environnementale et études comportementales.
2. La précision plutôt que l’intuition – Nous mesurons, analysons et validons les effets de la lumière, des couleurs et de l’agencement spatial sur les usagers.
3. L’impact avant l’esthétique – La beauté compte, mais le bien-être et la fonctionnalité ne doivent pas en pâtir. Nous concilions les deux, ce qui rendra le lieu plus « beau » d’après la perception des usagers.

Une approche pionnière

La neuroarchitecture comble le fossé entre la recherche scientifique et la pratique architecturale. Alors que l’intuition et l’esthétique ont longtemps guidé la conception, les données scientifiques nous permettent d’aller plus loin : concevoir des environnements qui répondent aux vrais besoins humains, et non à des suppositions.

Experts en Couleur et en Lumière

La plupart des discours sur la « psychologie des couleurs » reposent sur des généralités simplistes (« le bleu est apaisant », « le rouge est stimulant »). Nous rejetons ces affirmations trop réductrices. La perception des couleurs est profondément influencée par de nombreux facteurs, dont les biais cognitifs, les biais socio-culturels, les phénomènes d’habituation. Les couleurs peuvent avoir des impacts physiologiques universels, mais aussi des impacts psychologiques et cognitifs différents suivant les facteurs de perception. C’est pourquoi associer une couleur à un impact est une erreur. Notre expertise consiste à décrypter ces réponses individuelles et collectives pour préconiser des couleurs et/ou créer des espaces véritablement alignés sur les besoins physiologiques et psychologiques des usagers.

Il en va de même pour la lumière, un élément crucial mais souvent mal maîtrisé. Nous ne nous contentons pas de considérer éléments techniques comme les lux, lumens, les Kelvin l’UGR ou l’IRC : nous analysons comment l’intensité, le spectre et la répartition de la lumière interagissent avec la biologie et le comportement humains. Un éclairage mal adapté perturbe le sommeil, altère la concentration, influence l’humeur, peut procurer un sentiment d’insécurité, etc. Nous l’optimisons scientifiquement pour mieux l’adapter aux objectifs (visuels et humains) souhaités.

Pourquoi est-ce important ?

Parce qu’un espace qui ignore la neuroscience humaine est un espace qui échoue pour ses usagers – qu’il s’agisse d’un logement qui ne procure pas un sentiment de refuge, d’un bureau qui épuise ses occupants, ou d’un lieu public qui semble inhospitalier.

Nous ne concevons pas seulement des lieux. Nous concevons des expériences – façonnées par les vrais besoins humains, et non par des idées subjectives.